Fred Gevart
Dans ce premier exemplaire, vous trouverez une nouvelle de Fred, Fredgev pour les habitués des forums et sites littéraires, et c'est une chance.
Une chance parce qu'on ne le lit plus beaucoup, Fred (ou alors il se cache là où je ne vais pas).
Une chance parce que Fredgev est le premier auteur de nouvelles que j'ai découvert sur le Web pour lequel je me suis dit il y a 5 ou 6 ans, Bordel, mais qu'est-ce qu'il écrit foutrement bien ce mec, et que je continue de le penser aujourd'hui.
Une chance parce que c'est un des premiers que j'ai vu appliquer à la perfection les mises en abîme dans ses textes et rentabiliser l'outil virtuel concrètement.
Fred Gevart n'a pas le style des auteurs d'aujourd'hui. Quand je le lis, je ne peux m'empêcher d'y sentir certaines influences d'autreurs américains pour la plupart aujourd'hui disparus, mais il nous dira mieux lui-même qu'elles furent ses maîtres.
Quoiqu'il en soit, c'est une chance.
Une de plus dans ce premier numéro de Pulp.com.